Les transports doux caractérisent tous les modes de transports sans moteurs, qui ne génèrent pas de pollution ou de gaz à effet de serre (la marche, le vélo, la trottinette…). Ils contribuent à la réduction de la pollution de l'air et à la lutte contre le réchauffement climatique et permettent de se maintenir en bonne santé physique en pratiquant régulièrement de l'exercice.

Le transport est l'activité la plus consommatrice d'énergie et la plus émettrice de gaz à effet de serre.
Les entreprises peuvent participer à l’effort collectif en favorisant la mobilité durable. 

Favoriser les modes de transports doux et collectifs

70% des actifs utilisent l'automobile pour se rendre à leur travail. À Strasbourg, la première ville française à avoir installé un réseau dédié au vélo, 16 % des actifs se déplacent à bicyclette.

La loi favorise ce type de déplacement. Depuis le 13 février 2016, les entreprises peuvent prendre en charge tout ou partie des frais engagés par leurs salariés qui se déplacent à vélo — avec ou sans assistance électrique — entre leur résidence et leur lieu de travail. Fixée à 0,25 € par kilomètre parcouru, l'IK (Indemnité kilométrique vélo) est exonérée de cotisations sociales dans la limite de 200 € par an et par salarié. Elle est cumulable avec la prise en charge des frais de transport en commun (abonnement de transport collectif ou de service public de location de vélo), lorsque le salarié utilise son vélo pour se rendre vers un arrêt de transport public ou une station de service public de location de vélo.